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Les consultations

Pourquoi et quand consulter ? : les situations de stress inadaptées peuvent être nombreuses et la stratégie individuelle de l'individu est unique. Sa construction est unique. Lorsque le stress devient répétitif, et chronique, lorsque les souffrances se multiplient, lorsque les blocages se renforcent et lorsque des événements douloureux se reproduisent, chacun peut décider de comprendre le sens de ce qu'il vit et ainsi apprendre ce langage très spécifique, qu'est celui du cerveau émotionnel, qui nous alerte en permanence de ce qui a besoin d'être corrigé afin de mieux vivre demain.

les exemples de sress inadaptés sont nombreux et propres à chacun mais on peut en lister quelques-un :

- conflit dans le couple

- problèmes professionnels

- dépression

- angoisses

- insomnies

- désir d'enfant inassouvi

- difficultés sexuelles

- difficultés avec les enfants

- rupture amoureuse

- fatigue excessive

- peurs

- gestion compliquée du quotidien

-mal-être général

- problèmes alimentaires

- questionnement sur son identité, sa sexualité

- éducations des enfants

- problèmes familiaux

- événéments répétitifs insatisfaisants

- blessures du passé

- maladie ou symptomes qui sont des repères de dysfonctionnements

- dépendances

- pertes de contrôles

- phobies

- allergies et douleurs

- ....

...Ou tout simplement consulter avec le désir de s'améliorer, d'évoluer, pour soi, et sa descendance.

pratique en épigénétique

Le stress adapté et inadapté

En cas d’un danger perçu, ce sont notre reptilien et notre limbique qui vont nous donner les réflexes de survie : tout d’abord la fuite qui est le premier réflexe naturel. Il ne faut jamais s’en défendre.

Si la fuite n’est pas possible, alors l’hypothalamus qui est le chef d’orchestre,  va percevoir le danger, va faire en sorte de libérer de l’énergie, l’adrénaline, du glucose etc... Pour fonctionner sur une deuxième réaction qui est la lutte.

Mais si je ne peux ni fuir, ni lutter, parce que l’adversaire est jugé trop fort,  alors ce sera l’immobilisation, c’est-à-dire, faire le mort, en dernier recours.

Quand j’ai fait le mort pour une situation, je ne dois pas me juger, car mon cerveau m’a donné un réflexe de survie.

Je ne dois jamais le remettre en cause au risque que si un jour j’en ai besoin, je ne l’aurai pas. Ainsi, même lorsque ces trois fonctionnements ne sont pas adaptés, il vaut mieux avoir ce type de réflexe de survie que se faire bouffer par le prédateur.

En revanche il faut pouvoir faire un réglage. On va aller voir lorsque j’ai des réactions de fuite de lutte ou de faire le mort pour des situations qui ne le demandent pas. Car le risque est d’épuiser mes réserves et mes ressources.

Encore faut-il repérer ces réactions inadaptées alors qu’on lutte, fuit ou fait le mort de façons incohérentes.

La dépression est une réaction « faire le mort », claquer la porte en hurlant est une réaction « fuite », la violence, l’insulte, les coups, les pétages de plombs sont des réactions «  lutte ». 

Le cerveau ne ressent pas un peu dangereux, ou peut être dangereux, non, le cerveau ne négocie pas. La perception de stress est égale à un danger. Le problème est que s’il y a une perception de stress, c’est-à-dire de danger, c’est le limbique qui va intervenir. Et dans ces moments-là, le limbique déconnecte le néocortex.

Vous, vous croyez que vous allez gérer avec votre conscience élaborée, mais ce n’est pas possible, physiologiquement. Dès qu’il y a stress, adapté ou pas,  c’est le cerveau limbique qui va prendre la main.

Notre conscience élaborée va pouvoir ensuite reconnaitre que ce sont des stress inadaptés. Mais dans la perception, le cerveau n’analyse pas. Il gère. Le stress est ainsi uniquement géré par le système limbique et le reptilien.

Le problème est que si je suis toujours dans la lutte, la fuite ou faire le mort, à un moment donné cela va ne pas me donner satisfaction.

La consultation dure environ une heure, parfois une heure et demie, rarement plus. Elle se fait préférentiellement à mon bureau, mais il est aussi possible de consulter par skype.

L'appprentissage qui est proposé sollicite, selon une technique très spécifique, la plasticité cérébrale et la neurogenèse, ainsi entre chaque consultation, faut-il laisser le temps à ces phénomènes physiologiques de se déclencher. C'est pourquoi, en pratique épigénétique, on ne consulte que tous les 4 à 6 semaines.

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" Il n'est pas nécessaire d'aller mal pour souhaiter aller mieux"

 

 

pratique en épigénétique
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